Green lifestyle

Premier voyage à vélo : 10 conseils pour des vacances réussies (Vélodyssée)

Vous hésitez à vous lancer dans les vacances à vélo ? Moi aussi j’en avais envie, mais je n’osais pas. Avec le contexte particulier de cet été, j’ai choisi de privilégier des vacances en France, et tant qu’à faire, à tester ce concept de vacances écologiques qui me faisait de l’œil.

Dans cet article, je vous détaille notre itinéraire et les 10 conseils tirés de mon expérience personnelle et en bonus je vous donne les bonnes adresses food & dodo que j’ai testées le long de l’itinéraire Vélodyssée (enfin, un bout).

A savoir, les chemins Vélodyssée partent de Bretagne à Roscoff et descendent tout au Sud à Hendaye, donc à vous de choisir la portion qui vous plaît le plus !

Mon itinéraire : de Bordeaux à Bayonne

J’ai choisi de partir de Bordeaux, en arrivant de Paris en TGV. J’ai loué des vélos de randos à Bordeaux. L’idée était de partir en TER de Bordeaux avec les vélos jusqu’à Biganos pour nous épargner de faire le chemin Bordeaux-Biganos, de pédaler chaque jour environ 2h, puis de rentrer en TER à Bordeaux pour rendre les vélos. A savoir : les vélos non pliables sont uniquement acceptés dans les TER, donc ça complique un peu la mobilité avec les vélos si on en a marre de pédaler.

La carte Google Map avec le lien interactif

Les étapes prévues doivent en théorie durer entre 1h et 3h ; exception faite d’une journée de 4h où nous cumulons 2 étapes plutôt courtes car nous n’avons pas trouvé de logement. Dans les faits, nous avons pédalé une moyenne de 3h30 par jour, avec un min à 1h30 et un max à 5h.

Pour organiser le voyage, nous nous y sommes pris quelques jours à l’avance (logements et vélos bookés le mardi/mercredi pour le dimanche) et un peu sur un coup de tête, sans regarder de blog. Nous nous sommes juste appuyer sur le site Vélodyssée pour tracer notre parcours, décider de nos étapes et booker les logements aux bons endroits.

10 conseils pour des vacances à vélo réussies

Plutôt que de vous raconter chronologiquement mes aventures, j’ai choisi d’organiser tout ça via 10 conseils pour vous expliquer ce qu’il s’est passé.

1. Ne pas faire confiance à Google quant à la durée des trajets à vélo

Malheureusement, à Bordeaux, premier caca de voyage : un incendie sur les voies. Arrivés à 10h30, nous avons attendu presque 3h avant de décider de partir à vélo pour rejoindre Biganos et compléter notre première étape jusqu’à la Teste-de-Buche. Sur mon téléphone, Google Map indique 2h45 de trajet à vélo, on se dit « ça va ». Au final, ce sera plus de 5h de vélo pour rejoindre la Teste-de-Buche, de 13h à plus de 18h avec 35°C et une route uniquement sur une départementale à côté des voitures…. Première leçon : ne pas écouter Google.

Dans l’ensemble, en forçant vraiment et avec de « bonnes conditions » (aka pas le vent de face), on arrive presque à tenir les reco Google, mais dans les faits il vaut mieux doubler les temps de trajet estimés, surtout si l’on souhaite profiter du paysage et ne pas trop souffrir des cuisses. Spoiler alert, les douleurs aux cuisses (et le mal de fesses) ont fait partie de notre voyage (un peu trop d’aileurs).

Si c’était à refaire, je ne ferais JAMAIS 2 étapes d’affilé, et je prévoirais 1 à 2h de vélo par jour, pas plus. On a quand même survécu et passé de bonnes vacances, mais il y a eu des moments où c’était un peu dur.

2. Porter un short cycliste

Boboooo fesses… C’est ce que j’ai hurlé le long du premier trajet (oui je parle comme une enfant). Concrètement, 5h les fesses posées sur une selle, ça fait mal. 2h aussi. Si bien que dès le 2ème jour, on est passés par un Décathlon pour acheter un short cycliste. J’ai pris un modèle homme car il n’y avait plus que ça, et ça a bien fait l’affaire.

L’idéal est d’en avoir 2 car on ne porte pas de sous-vêtements en dessous (ça frotte), donc il vaut mieux le laver au savon tous les soirs. Avec la canicule, j’en avais un seul et pas de problème pour qu’il soit sec le lendemain, sauf une fois où on est arrivés à 21h et on repartait le lendemain à 8h… Bon, désolée pour l’hygiène mais j’ai zappé le lavage cette fois-ci.

Dernière précision : ce n’est pas non plus magique. J’ai eu de bons bleus dans l’intérieur des cuisses toute la semaine, mais j’arrivais quand même à poser mes fesses sur la selle sans trop souffrir et c’est ça qui compte (le 2ème jour sans short, je n’arrivais même pas à poser mes fesses !).

3. Anticiper les activités sur place, notamment physiques

Quand on fait plusieurs heures de vélos, on arrive et on est… fatigués. Vous voulez faire du surf, de la planche à voile ou une autre activité physique ? Pensez-y quand vous organisez le trajet ! J’ai absolument tenu à faire du surf parce que je voue une passion aux roulés-boulés dans les vagues. 2h de surf + 4h de vélo derrière, quand on est enfin arrivés j’étais tellement mal à cause de l’effort (parce qu’on allait vite pour arriver avant 22h et pouvoir manger) que j’ai eu envie de vomir en arrivant. C’est pas glam du tout, mais c’est la vérité.

Un autre jour, nous sommes arrivés à 13h30 (partis à 9h30…). On a mangé, puis on avait plus rien envie de faire (la sieste, quoi). Du coup, pas très cool si les vacances se résument à juste faire du vélo, se reposer du vélo, dormir, manger et reprendre le vélo ; sauf si c’est ce que vous voulez faire.

4. Penser aux trajets supplémentaires en vélo

Quand on a vu qu’on passait près d’Arcachon (à 30 min à vélo), on s’est dit qu’on irait faire un tour. Problème : après 5h de vélo et plusieurs heures prévues le lendemain, c’est le supplice dès qu’il faut (encoooore) pédaler.

Comme les activités, les petits trajets en plus ça se prévoit ! Un autre exemple : j’avais repéré un restau cool près de Mimizan, sauf qu’en arrivant avec 4h de vélo à fond, entre faire un détour de 20 min puis 30 min pour rentrer à l’hôtel et manger une pizza sans fromage ou un combo frites/salade, c’est vite choisi. Et pourtant, j’adore tester de nouvelles adresses et j’étais super frustrée de manger ma pizza pas terrible du tout.

Idéalement, repérez en avance les lieux où vous voulez absolument passer et intégrez-les au calcul du temps de vélo !

Par ailleurs, il y a peut-être des endroits sur la route où vous aimeriez vous arrêter… Pensez aussi à prévoir ces temps d’arrêts pour que tout tienne sur votre planning.

5. Prévoir la météo, voire la canicule

En été, sur la côte, il fait chaud. Des fois, il fait même mégaaa chaud. On ne l’avait pas forcément anticipé même si ça tombe sous le sens, mais pédaler entre 12h et 16h quand il fait 40°C et que la piste n’est pas forcément à l’ombre, c’est juste l’enfer.

Prenez en compte la météo pour faire votre emploi du temps, car quand c’est la canicule la chaleur ne retombe pas avant la nuit, donc il vaut mieux avoir fait ses kilomètres avant 12h…

6. Réserver en avance les logements si possible

Je l’ai dit un peu plus haut : nous avons réservé littéralement quelques jours en avance. On récolte ce que l’on sème… Bref, si nous nous en sommes quand même sortis, il restait très peu de logements et à un prix assez extravagant. Nous avons opté quand nous le pouvions pour des logements moins onéreux (tentes, caravane, …), mais ça reste cher.

Par ailleurs, nous avions décidé de faire 2 étapes en 1 (Biscarosse > Parentis-en-Born > Mimizan) parce que nous n’avions pas trouvé de logement à Parentis-en-Born. Spoiler alert : c’est une idée pourrie, et ça fait très mal aux cuisses.

7. Ne pas surestimer ses capacités physiques

Niveau sport, j’ai toujours un peu tendance à me dire, « maaah, ça va passer ». Pour vous donner un peu de contexte, j’ai 26 ans, je cours 2 fois par semaine (8-10 km). J’aime bien les défis physiques, et grosso modo je suis très souvent partante quand il s’agit de faire du sport.

Du coup, je me suis dit, peu importe la distance, ça passera. En une après-midi, oui, 3h de vélo ça ne me fait pas peur. Mais quand on a fait la même chose les 5 jours précédents, ça commence à faire beaucoup, à tirer sur les cuisses et un peu partout.

Sauf si vous êtes fan de challenge, gardez à l’esprit que ce sont des vacaaaances. Donc même si elles sont sportives, l’idée est quand même de se reposer et de s’amuser ; pas de se maudire d’avoir visé trop haut (ça sent le vécu ? Oui).

Accessoirement, comme TOUT est booké sur la côte ou presque, ce sera très difficile de changer de logement à la dernière minute. Sur certaines étapes (Bordeaux-La-Teste-en-Buch, vous pourrez prendre le TER si vous en avez marre (ok, après 5h de vélo sur la première étape, on a triché et on a fait 10 min de TER). MAIS c’est super rare et ça n’a pas du tout été possible sur les autres étapes ; les bus sont aussi rares donc si vous avez booké vos nuits, pas le choix que de pédaler et d’arriver à la destination du soir…

Tout ça pour dire que j’aurais préféré prévoir beauuuucoup moins et pouvoir rajouter des petits détours ici et là si ça me faisait plaisir, mais là clairement c’était pas possible.

Dernière chose : si ça vous fait peur physiquement, n’hésitez pas à prendre des vélos électriques, c’est quand même beaucoup plus facile !

8. Bien manger & emporter des snacks

Bon, ça a l’air super bête comme ça mais c’est la base. Mangez bien, voire très très bien avant de partir parce que vous avez de la route devant vous et on est jamais à l’abri qu’elle s’allonge par rapport aux prévisions.

Dans nos sacs, nous avions pris plusieurs barres d’oléagineux. Nous avions aussi une lunchbox où nous mettions les restes des repas, qui sont toujours bienvenus au moment du creux en plein milieu de nulle part.

J’ai aussi apprécié de prendre une bouteille de jus de fruits sur une étape, ça fait du sucre sans avoir besoin de mastiquer (attends, on pédale, on va pas mastiquer en plus !).

9. Prendre 2 gourdes

Nous avions pris chacun une gourde, qui doit faire environ 75 cL. Sachant qu’il faisait megaaa chaud et que les points de ravitaillements d’eau ne sont pas légion, ça faisait un peu short. J’aurais bien été contente d’avoir une 2ème gourde pour pouvoir boire sans réfléchir au niveau d’eau et au nombre de kilomètres restants avant de trouver un endroit où remplir la gourde.

Parlons de ces endroits d’ailleurs, ça pourra vous être utile : nous avons refait le plein dans des commerces, en demandant gentiment si c’était possible de remplir la gourde, dans le jardin d’un particulier qui était dehors (même technique), dans des campings (aux sanitaires ou aux points d’eau), dans des douches de plage et avant de partir de l’hébergement du jour, évidemment.

10. Faire des bagages minimalistes

Encore un truc qui tombe sous le sens, mais bon. Vous porterez vos bagages TOUS LES JOURS. Même en étant à vélo, c’est lourd. Je vous conseille donc de réduire au minimum les affaires que vous emporterez.

Le 3ème jour, j’ai bien cru que j’allais faire un torticolis tellement que j’avais mal au dos et une sale contraction dans la nuque. J’ai choisi de mettre mon sac dans le panier à l’avant du vélo (ha oui, encore un conseil : prenez des sacoches & un panier à l’avant, c’était une option à 15€). Heureusement que mon sac n’était pas trop gros et rentrait dedans ! Le guidon devient beaucouuup plus lourd et donc moins maniable, mais j’ai préféré ça au torticolis.

J’avais pris des affaires pour les 7 jours tout pile. Dans les faits, j’ai plus sali mes tee-shirts que prévu puisqu’à chaque trajet de vélo, mon tee-shirt devenait importable. Je dois avouer que le mercredi, j’ai reporté le teeshirt du lundi pour la route, en me disant que de toute façon il allait finir dégueu et que je prendrai une douche en arrivant. C’est une option (pas glamour, je vous ai rien épargné !). Le jeudi, étant arrivés vers 13-14h avec un jour de canicule, on s’est motivés à nettoyer nos affaires sales à la main avec du savon. Tout a séché et on a pu repartir tous propres (bon, le lavage à la main au savon dans un lavabo c’est pas la folie mais c’est quand même plus ou moins propre).

Le nettoyage à la main est une option que j’utilise régulièrement en voyage. Au pire du pire, je me dis que si j’ai vraiiiiment besoin d’un truc, je l’achèterai sur place (même si je n’aime pas les achats « impulsifs » et qui ne vont pas forcément servir plusieurs fois). Dans les faits, cette fois-ci j’ai acheté le short cycliste. J’aurais bien acheté des tongs parce que je suis partie avec une seule paire de chaussures (je n’ai même pas de sandales ou de tongs à la maison), mais au final j’ai fait sans.

Tout ça pour dire que dans mon expérience, partir avec une valise hyyyper minimaliste se passe toujours bien. Ce n’est pas le confort optimal, mais si vous avez choisi des vacances à vélo je suppose que ce n’est pas ce que vous recherchez.

Mes bagages : 1 jupe, 1 short et 1 legging, 3 teeshirts, 3 débardeurs et 1 blouse, 1 pull, 7 culottes, 5 paires de chaussettes (j’aurais du en prendre plus mais bon, ça se lave et sèche facilement), 2 maillots, 1 serviette, ma trousse de toilette (savon, peigne, déo, brosse à dents, dentifrice et oriculi)

En conclusion

En lisant l’article, on a peut-être l’impression que j’ai passé de mauvaise vacances car je me suis concentrée sur ce qu’il faudrait améliorer. En vrai, l’ensemble était plutôt très sympa malgré quelques moments un peu durs physiquement.

Le vrai plus de ces vacances est que j’ai l’impression d’être partie 2 ou 3 semaines, c’est une véritable coupure avec le quotidien ! C’est la première fois que j’ai vraiment ce ressenti et c’est vachement cool (d’habitude c’est plutôt « quoiiiii ? déjà finiiiii ? »).

Je suis donc très contente de mes vacances planifiées un peu à l’arrache, je repartirai sûrement à vélo mais dans de meilleures conditions (bisou Google encooore). J’espère que l’article vous aura été utile ; n’hésitez pas à me faire part de votre avis et/ou de vos expériences de voyage à vélo en commentaire. En bonus, je vous laisse avec les bonnes adresses testées sur le parcours :

Les bonnes adresses : restaurants vegan-friendly et hébergements sur la Vélodyssée

Bordeaux

Raisin de plus : bar à vin (fromages & charcut’ vegans)
De super conseils sur les vins : on a goûté un vin blanc avec des saveurs d’ananas et de fruits exotiques, et un rosé de Bordeaux plutôt fruité. La planche mixte est cool, mais manque un peu de diversité (1 fauxmage + 1 sisson)
verres entre 4 et 8€, planches à 12€ et 17€

Dis leur : restaurant à tapas le soir. On a pris l’assiette salée + l’assiette sucrée ; les deux sont à partager à 2. Les goûts sont intéressants et plutôt recherchés, absolument tout est fait maison et c’est bon. Les quantités sont un chouïa juste pour moi mais je suis une (très) grosse mangeuse.
assiette salée à 29€, assiette sucrée à 15€

Kokomo Cantine : des burgers et des burgers. J’ai pris le vegan, qui m’a semblé très vide et méga cher (bun, sauce, steak Beyond pour 12€ le burger seul) ; mais Delphine du blog Geek & balsamique conseille chaudement le burger Portobello en demandant de remplacer le cheddar par de l’avocat. Si vous y passez, vous saurez quoi prendre !
burgers + frites 15-16€

Sinon, on m’a aussi conseillé en vegan friendly Ici la Terre, Munchies, Papa Lello, Mille et une nuits, The Wild Note, Kitchen Garden, Banana café. Evidemment je n’ai pas testé ces adresses, je vous laisse vérifier par vous-même !

Niveau hébergement, je n’ai rien de particulier à vous conseiller, on a fait un studio via Airbnb et une chambre d’hôtel près de la gare, rien de particulièrement notable ou sexy.

La-Teste-en-Buch

MaxiCoffee une découverte bien sympa, où j’ai pu manger un bol vegan bien frais, plein de légumes avec un avocado toast
bol à 10€ environ

Nous avons acheté gaspacho, houmous, et fruits et légumes frais au supermarché du coin pour le dîne donc pas d’adresse supplémentaire.

Niveau hébergement, nous avons dormi dans cette petite caravane Airbnb. C’est sommaire (douche solaire, toilettes sèches), mais ça fait des souvenirs et c’est deux fois moins cher qu’un hébergement classique.

Biscarosse

Nous avons passé la nuit dans une grande tente avec un matelas, au sein d’un surfcamp tenu par deux jeunes super sympas. C’est joli (je dirais même : c’est instagrammable !), l’ambiance est cool. On peut louer des planches de surf pour pas grand chose et la plage est à côté. Seul bémol : le camp est situé au milieu d’un énorme camping familial, donc oui, il y aura la mini boum et les musiques pas forcément agréables jusqu’à 23h environ.
Gros bonus : il y a plusieurs petits stands de food, et l’un d’entre un fait un tajine vegan plutôt correct (on en a pris 3 pour 2 par contre ; le tajine est à 10€).
Il y a aussi une petite supérette à 3 min, où l’on a acheté de quoi faire un super taboulé sur la cuisine du surfcamp.

Mimizan

L’Açai bowl : smoothie bowls, et bols frais
On y a petit-déjeuné avant de partir avec un très grand smoothie bowl, c’était méga bon ! J’aurais bien aimé testé le midi ou le soir, mais ça ne collait pas avec l’emploi du temps…
Smoothie bowl maxi 9€

Pour le soir, on a mangé dans une pizzeria pas très bonne que je ne nommerais pas. Cela dit, ça a été la seule à nous accepter à 21h15, tous les restaus autour nous ont refoulé…

Niveau dodo, on a fait un hôtel pas terrible (avec une chambre méga chaude sans fenêtre), mais avec une piscine et ça c’était vachement cool.

Moliets-et-Maa

Pour dormir, nous avons logé dans une chambre d’hôtes assez sympa. C’était vraiment cool car la maison était bien fraîche et c’était un jour de méga canicule, on était bien content de rester à l’intérieur de 14 à 16h.

Pour manger, nous avons cuisiné sur place avec des produits achetés au supermarché pas loin.

Hossegor

Capkraken vegan une adresse veggie avec des cocktails qui tuent et de bons petits plats vegans. On y a mangé le soir, l’ambiance est sympa et les serveurs aussi. C’est super bon, genre VRAIMENT, les cocktails sont hyper équilibrés, faits avec des ingrédients frais et intéressants, en bonus c’est pas très cher, bref, courez-y.
plat à 8€, cocktail 8€-9€

Le Mango tree un spot sympa juste à côté du lac d’Hossegor. Ils m’ont adapté le bol veggie pour le rendre vegan. C’était super bon, mais j’ai trouvé ça un peu cher pour les quantités.
13€ le bol veggie véganisable ; 8€ le smoothie bowl

Slow petite adresse vegan accolée à un magasin bio. La zone n’est pas glamour mais ça vaut le détour ! J’ai adoré mon burger, et j’étais super contente de trouver des petites brioches façon cinnamon roll en dessert.
12,5€ le burger et 2,5€ la mini brioche

Pour le dodo, rien d’exotique, nous avons opté pour une location dans un immeuble de résidences de vacances, pas sexy mais ça a fait l’affaire.

Bayonne

On a seulement repris le train à Bayonne pour remonter les vélos à Bordeaux, donc rien de spécial à conseiller !

Merci de m’avoir lue jusque-là, j’espère que l’article vous a plu et j’ai hâte de lire ce que vous en pensez, vos plans de voyage ou vos expériences persos. Si vous voulez en voir un peu plus sur le voyage / les paysages, rendez-vous sur Insta en story à la une ou dans les Réels.

Bon voyage à toustes 🚴‍♀

4 Comments

  • Hélène

    Très intéressants ton retour d’expérience et tes conseils 🙂 En effet ça fait voir du pays tout en faisant du sport, on ne choisit pas ces vacances par confort hahaha

    Perso j’ai fait un bout de Loire à vélo (~40 km par jour), expérience bien sympa même si sous le cagnard du aussi. Heureusement que de bonnes portions ont des zones ombragées (lisières de forêt etc). En effet c’est indispensable de bien préparer son itinéraire, en prenant en compte le dénivelé !

    J’ai trouvé 2 sites que j’aurais aimé avoir à l’époque de mon périple, les voilà si ça peut aider :
    https://www.provelo.org/fr/page/cartes-interactives-itineraires-cyclistes
    https://www.openrunner.com/

  • Anouk Laillot

    Salut!
    merci, trop chouette ton article! tu connais https://fr.warmshowers.org/ qui est en gros le « couchsurfing » du vélo-globe trotteur? des amis qui font beaucoup de voyages en vélo dorment en tente mais parfois se reposent chez des gens via cette plateforme, ils ne sont tombés que sur des gens super cool et ont pu dormir dans une vraie chambre à chaque fois et partager un repas avec eux…plutôt cool pour des vacances vraiment pas chères et conviviales!

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